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Economie de la Guadeloupe

La situation économique de la Guadeloupe est fortement déficitaire. L’agriculture de la canne à sucre et de la banane, qui contribuait autrefois à la richesse du pays, ne survit que grâce aux subventions de l’Etat et des collectivités locales.

Un certain dynamisme économique

Le tourisme et ses nombreuses activités en Guadeloupe est le seul secteur économique qui conserve un certain dynamisme malgré la dure concurrence des îles voisines comme Cuba ou la République Dominicaine.

Les gites et la location de bungalows en Guadeloupe sont nombreuses et variées sur l’Ile.

« La canne, c’est notre sidérurgie » ont coutume de dire les Guadeloupéens car les industries y sont peu nombreuses et appartiennent essentiellement au secteur agroalimentaire (sucreries, rhumeries, conserveries).

On trouve aussi la culture du melon, de l’avocat, de l’ananas, du corossol, de l’orange, du citron, de l’aubergine, du carambole et du pamplemousse (voir la gastronomie Antillaise).

Ces cultures fruitières et maraîchères, elles ne parviennent pas à couvrir les besoins des 453 000 Guadeloupéens. Chaque année, l’île doit importer plus de dix mille tonnes de fruits et de légumes.
« L’île papillon » ou l’île continentale est composée de Basse-Terre (850 km2) où se concentrent les habitations et l’activité économique. Cette partie est montagneuse et le célèbre volcan de la Soufrière, toujours en activité, domine l’île à plus de 1467 mètres.